
En cette fin d’année, l’heure est au bilan et personne ne contestera que 2020 figurera dans l’histoire comme l’une des années les plus sombres de l’humanité. Entre la pandémie, la crise économique mondiale, le scandale de la fraude électorale aux USA et le muselage de la population des « grandes démocraties », difficile de trouver une lueur de positivité dans cette année qui s’achève et nous espérons tous que 2021 sera meilleure.
Hélas si vous avez lu notre article sur les prédictions pour 2021, vous savez que les plus grands voyants sont pessimistes pour l’année à venir. Un peu partout dans le monde, des signes se multiplient pour nous annoncer que nos malheurs sont très loin d’être finis. Le dernier en date nous vient de Naples avec la non liquéfaction du sang de San Genaro ce mercredi 16 décembre.
« Le sang de Saint Genaro ne s’est pas liquéfié mercredi malgré une longue journée de prière » , rapporte le journal épiscopal italien Avvenire. Un flacon de cristal contenant ce que l’on dit être le sang séché du saint patron de Naples est exposé chaque année dans la cathédrale de la ville, alors que les gens se rassemblent pour prier et le regarder se liquéfier. L’événement est connu comme le « Miracle de San Genaro ». Mais cela ne s’est pas produit mercredi malgré des heures de prière le matin et une messe spéciale l’après-midi.
«Lorsque nous avons sorti le médaillon du coffre-fort, le sang était absolument solide et reste absolument solide», a déclaré Mgr Vincenzo De Gregorio, abbé de la chapelle royale du Trésor de Saint-Januaire dans la cathédrale de Naples.
Cette fois, moins de personnes que la normale ont été autorisées à entrer dans la cathédrale en raison des restrictions relatives aux coronavirus. Beaucoup de gens considèrent le «miracle» comme un signe divin mais quand le sang ne se liquéfie pas lors de la fête du saint, le 16 décembre, c’est une très mauvaise nouvelle. Lors des cérémonies précédentes où le sang ne s’est pas liquéfié, de grands malheurs se produirent bientôt à Naples, en Italie et dans le reste du monde.
La légende raconte que les échecs de liquéfaction ont précédé 22 épidémies, 11 révolutions, trois sécheresses, 14 décès d’archevêque (en 30 jours), quatre guerres, 19 tremblements de terre et trois persécutions religieuses. Or, il ne s’est pas liquéfié non plus le 16 décembre 2019, annonçant ainsi la catastrophique année 2020.
L’une des dates dont on se souvient le plus est le 16 décembre 1835, date à laquelle le miracle n’a pas non plus eu lieu et en 1836, l’épidémie de choléra qui sévissait en Europe depuis au moins quatre ans, est arrivée à Naples. Elle a causé plus de 5 000 morts dans une première phase, et après une pause, dans une seconde phase, en 1837, plus de 13 000 personnes sont mortes.

Au XXe siècle, le miracle ne s’est pas produit trois fois: en 1939, avant le début de la Seconde Guerre mondiale, en 1944, avant l’éruption du Vésuve, en 1980, avant un tremblement de terre dévastateur, au cours duquel quelque 3000 personnes sont mortes . Au 21e siècle, le miracle ne s’est pas produit le jour du saint en 2016, juste avant le puissant tremblement de terre au Mexique. De son côté, le cardinal de la ville, Crescenzio Sepe, a tenté de rassurer la population ce mercredi en assurant qu’il n’y avait pas de présage de catastrophes, ni d’épidémies, ni de guerres. Il faut dire que l’Église catholique ne reconnaît pas cette liquéfaction du sang comme un miracle vérifié (ni la liquéfaction du sang de saint Patrick, saint Jean-Baptiste, saint Pantaléon et 20 autres saints de plus) malgré le fait que le pape François en ait été témoin en 2015.
Au vu de ce qu’il s’est passé les fois précédentes, on a vraiment de quoi être inquiet pour 2021. Mais que peut-il nous arriver de pire l’année prochaine alors que l’on semble avoir touché le fond en 2020? Si on y réfléchit un peu, il y aurait bien quelque chose qui pourrait mettre le dernier clou au cercueil de la confiance que nous pouvions encore avoir en nos dirigeants et nous mener à une vraie guerre civile. On pourrait imaginer que les «vaccins» qu’ils veulent distribuer dans le monde aient un effet imprévu sur les gens ou même les tuent, le remède étant pire que la maladie. C’est une possibilité que je n’ose pas imaginer même si je sais que Big Pharma est prêt à tout pour faire du fric. Nous serons attentifs à tout ce que 2021 nous apportera et le chemin que prend l’humanité semble de plus en plus chaotique.
Que le « vaccin » soit en fait un poison à moyen terme est le plus probable malheureusement. Pourquoi ? Parce que les scientifiques ont toujours dit qu’un vaccin contre les coronavirus (en général) ceux qui donnent rhume, rhinopharyngite etc , était impossible et là, en 6 mois, on nous pond un « vaccin » qui au-delà même de sa formulation, ARNm ou pas, n’a matériellement pas eu le temps d^’être testé avec tous les critères dont la science aime à s’entourer, critères qui ont fait qu’un remède éprouvé dans d’autres domaines comme l’hydroxychloroquine, n’a pas été autorisé à l’emploi.. Et il faudrait croire cette fable quand on voit que tout ce qui se déroule a été décrit et « prédit » par des sommités (médicales ?) comme Billl Gates. Cet individu avait prédit cette pandémie en 2019, mis au point un passeport électronique tatoué de manière invisible (projet ID2020) , prédit la deuxième vague et les suivantes à venir, prédit que nous serions confinés jusqu’à l’été ou l’automne 2021. A partir de quels critères ? de quelle connaissance des épidémies ?
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